Peintres de Penmarc'h 7

Emmy Leuze-Hirschfeld - La Tour Carrée

Emmy Leuze-Hirschfeld - Moulin de Kervily © Collection particulière

Emmy Leuze-Hirschfeld - Moulin de Kervily © Collection particulière

Emmy Leuze-Hirschfeld - Bigoudènes tricotant devant la mer
(aquarelle et gouache)

Alfred Marzin , est un artiste peintre et graveur français qui n'a peint que la Bretagne. (o en 1880 à Saint-Yrieix, Haute-Vienne ; † le 1er octobre 1943 à Nantes, Loire-Atlantique) 

Alfred Marzin - Goémoniers à la chapelle de la Joie (estampe)
© Musée Départemental Breton

Alfred Marzin - Pardon de la Joie (estampe)
© Musée Départemental Breton

Alfred Marzin - Goémoniers à Saint-Pierre

Alfred Marzin - Les brûleurs de goémons

Alfred Marzin - Goémoniers à la chapelle de la Joie

Alfred Marzin - Pardon de la joie (gravure sur bois)

Alfred Marzin - Pardon de la joie (gravure sur bois)

Alfred Marzin - Phare d'Eckmühl (gravure sur bois)

Paul Auguste Masui-Castrique est un artiste peintre impressionniste belge (o en 1888, à Differdange, Luxembourg ; † 1981 à Uccle, Belgique)

Paul Auguste Masui - Pors Lambert (eau forte)

Paul Auguste Masui - Pardon devant la tour et la chapelle à Saint-Pierre

Mathurin Méheut est un artiste peintre et illustrateur français (o le 21 mai 1882 à Lamballe, Côtes-d'Armor ; † le 22 février 1958 à Paris I^er)

Mathurin Meheut  1913 © L'Illustration

Mathurin Meheut - La veille du Pardon

Mathurin Meheut - Pardon de la joie

Mathurin Meheut - Chapelle de la Joie

Mathurin Meheut - Goémoniers au repos à Saint-Guénolé

Mathurin Meheut - Pardon de la Joie

Mathurin Meheut - Séchage du poisson

Mathurin Meheut - L'arrivée du dromadaire

Mathurin Meheut - Pardon de la Joie

Mathurin Meheut - Pardon de la Joie

Mathurin Meheut - Pardon de la Joie

Mathurin Meheut - L'arrivée du cirque

Maurice Ménardeau est un artiste peintre français (o le 6 février 1897 à Limoges, Haute-Vienne ; † le 11 avril 1977 à Curepipe, Île Maurice).  

Maurice Ménardeau - 

Maurice Ménardeau - 

Penmarc’h, Finistère, le 15 août 1916

Comme nous sommes heureuses d’avoir un peu d’argent à dépenser pour nos pauvres gens. Nous avons quitté Paris pour nous reposer un peu, comme nous l’a recommandé le docteur. Nos soldats et réfugiés nous écrivent et nous reviendrons bientôt dans nos « tranchées ».

Ici à Penmarc’h, les pauvres gens souffrent comme les autres, car la Bretagne a fourni presque tous les marins et plus de soixante pauvres femmes sont veuves. Les femmes travaillent dans les champs et font tout le travail des hommes, ça fait pitié de les voir couper le blé et l’orge et ramasser les pommes de terre sous le soleil brûlant. L’une d’elles a trente-deux bêtes (en français dans le texte) à s’occuper : vaches, cochons, poulets, chevaux, plus tout le travail des champs et de la maison avec cinq enfants. Nous aidons un peu, autant que nous pouvons et c’est presqu’un spectacle de nous voir rentrer les vaches, remuer le foin, ou encore nourrir les canards, les poulets et couper les feuilles de chou et de betteraves pour nourrir le bétail. C’est très sec et poussiéreux et le vent très fort. Partout en France, le climat semble détraqué : trop sec, trop chaud, trop froid et humide, trop de pluie ou pas assez. La faute en incombe au choc causé par les canonnades qui secouent cette partie du monde.

Penmarc’h est connu pour son beau costume de lumières, broderies oranges et les couleurs argentées, dorées et lumineuses de la coiffe, la plus remarquable du pays. Mais aujourd’hui, toutes ces couleurs ont disparu et on pourrait dire que les femmes ressemblent à une nuée de mouettes, blanches et noires ; elles ne porteront aucune couleur jusqu’à ce que les hommes reviennent, les pauvres ! Beaucoup n’en mettront jamais plus.

Vous êtes très généreux de nous envoyer autant d’argent. Nous sommes confrontées à des situations très diverses. L’argent nous permet de payer des locations pour les réfugiés et d’apporter un peu de confort aux jeunes mères malades et à leurs pauvres enfants. J’ai peur que nous n’ayons un autre hiver de guerre : ça semble terrible à croire, mais ça doit être fait, un sale travail !  

© The Mercantile Library of Cincinnati

Elisabeth Nourse - Enfants Bigoudènes 1901

Elisabeth Nourse - Enfants Bigoudènes 1901 (pastel)

Elisabeth Nourse - Mère et enfant 1901

Léopold Pernes - Goémoniers à la Joie

Léopold Pernes - Goémoniers à Pors-Carn

Léopold Pernes - Goémoniers à la Torche

Léopold Pernes - Le Pardon

André Émile Planson est un artiste peintre français (o le 10 avril 1898 à La Ferté-sous-Jouarre, Seine-et-Marne ; † le 29 septembre 1981 à Neuilly-sur-Seine, Hauts-de-Seine). 

André Planson -

André Planson - Le phare d'Eckmühl 1957

André Planson - 

André Planson - Arrivée au port de St Guénolé

André Planson - Bigoudènes sur la plage

André Planson - Le port (de St Guénolé) 1928

André Planson - Chapelle en Bretagne

André Planson - Saint Guénolé

André Planson - Scènes de plage à Saint-Guénolé 1931

Stefan Popescu - N.-D. de la Joie

Stefan Popescu - Procession à la Joie

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